Mohamed Hammal, secrétaire général du Forum des pays exportateurs de gaz,
a déclaré aujourd’hui samedi que le forum s’attend à une augmentation de la
demande de gaz naturel estimée à 43 pour cent à l’horizon 2050, et que la part
du mix énergétique atteint aujourd’hui 23 pour cent. et 26 pour cent à l’horizon
- Dans son discours lors du lancement du 7ème Sommet des chefs des
pays exportateurs de gaz, Mohamed Hammal a souligné que « l’âge d’or du
gaz. Il est devant nous, pas derrière nous », ajoutant que pour répondre à la
demande de gaz naturel, les investissements sont importants et devraient
arriver. À 9 000 milliards d’ici 2050. Comme l’a expliqué le porte-parole, l’appel
à cesser d’investir dans le gaz est un appel trompeur, car il crée une pénurie
d’approvisionnement et crée des défis. économique, ainsi que le retour à
l’utilisation du charbon, 70 pour cent des réserves de gaz naturel et 40 pour
cent de la production mondiale du marché. Le secrétaire général du Forum des
pays exportateurs de gaz a déclaré qu’au cours des quatre dernières années,
les systèmes énergétiques mondiaux ont été confrontés à des défis majeurs en
raison de la pandémie de Covid-19, de la récession économique, des tensions
géopolitiques et des restrictions économiques unilatérales. La transformation
radicale du marché et des flux énergétiques. Il a ajouté : « Cette période a mis
en évidence le besoin urgent de faire progresser la sécurité, l’équité et la
durabilité énergétiques. ». Cette période a souligné – ajoute Muhammad
Hammal – la nécessité d’une politique énergétique équilibrée et conforme à
l’objectif de réduction de la pauvreté et de développement économique et
social. Les hautes priorités sont, et en réponse à cela, le gaz naturel, qui est
considéré comme une énergie propre, disponible et diversifiée, est ce gaz. Elle
s’impose comme une ressource énergétique qui permettra d’atteindre les
objectifs de développement durable tout en assurant une transition
énergétique sans marginalisation. Le même intervenant a également souligné
que le passage des méthodes traditionnelles au gaz de pétrole liquéfié pour la
cuisson réduit les décès prématurés. Cela réduit la déforestation. Passer du
charbon au gaz naturel peut améliorer la qualité de l’air et réduire les
émissions de gaz à effet de serre. Il œuvre pour assurer la stabilité et constitue
une ressource essentielle pour produire des engrais et assurer ainsi la sécurité
alimentaire.