Si l’on croit l’étude de l’Economist Intelligence Unit, la capitale algérienne est une ville où il ne fait pas du tout bon vivre.
Dans l’édition 2022 du Global Liveability Index, l’Economist Intelligence Unit a placé la capitale syrienne Damas à la dernière place du classement des villes les plus agréables à vivre, devancé par Tripoli et Alger.
Les trois villes ont été classées en queue de liste sur un total de 172 villes dans le monde, suite à une analyse faite sur la base d’un système de points selon lequel la ville obtenant le moins de points est considérée comme désagréable à vivre.
Suivant ce critère, les villes de Damas, Tripoli et Alger ont obtenu un score inférieur à 40 en raison de « l’agitation sociale, du terrorisme et des conflits », précise l’étude.
Dans le top dix des villes où il fait bon vivre, on retrouve en haut du classement les villes de Vienne, Copenhague, Zurich, Genève, Francfort et Amsterdam.
Au Moyen-Orient, les villes les mieux classées sont Dubaï et Abou Dhabi avec 80 points sur 100. Les capitales du Koweït, du Qatar, de Bahreïn, d’Oman, de la Jordanie et d’Israël ont toutes obtenu un score supérieur à 60.
Au milieu du tableau, avec des scores compris entre 40 et 60, on retrouve les capitales égyptienne et tunisienne, Le Caire et Tunis, les villes de Casablanca (Maroc) et d’Istanbul (Turquie), ainsi que trois villes saoudiennes : Riyad, Djeddah et Khobar.
Aline M.